Décidément pas facile de poster par ici en ce moment, voici quelques détails des travaux en cours. Aujourd’hui la machine fait du café, il ne me reste plus que les habillages en inox à polir, rassembler la caisse, et ça sera fini. Mais vous l’avez compris, je suis en retard ici.
En remontant le robinet d’entrée d’eau j’ai fait quelques photos, j’aime énormément ce montage. C’est aussi solidement et intelligemment fait qu’un robinet de chez Unic. Sauf qu’en plus l’ergonomie pour l’assembleur a été très bien pensée. Pas besoin d’aller chercher un joint torique caché dans une petite gorge cachée au fond d’un puits… Ici tout a été prévu pour être très accessible.
Voici le poussoir principal qui commande l’ouverture du clapet :
Le joint torique qui guide le piston du poussoir est d’abord placé dans une rainure taillée dans le corps. Une fois placée la rondelle en cuivre créant une paroi parallèle au fond de la rainure en fait une gorge. Par dessus se place le joint à lèvre qui fera l’étanchéité du piston, le tout maintenu par le couvercle. Tellement évident !
Comme souvent chez les fabricants, un joint est utilisé à plusieurs usages. Le joint torique du robinet ci dessus est le même que celui nécessaire à étancher les deux embases de tube de niveau d’eau de la chaudière. Heureusement que j’en avais commandé plusieurs.
La résistance vient du catalogue La Spaziale, le modèle Professional. Gros avantage pour tous puisque Conti ne la produit plus. Et gros avantage pour nos amis américains, car elle existe aussi en 110v. Détail des joints utilisés et du puisage d’eau chaude.
Il n’a pas été facile de monter une soupape fausse vapeur et la soupape basse pression, l’espace est très restreint.
Quelle belle pièce ce groupe, je l’aime beaucoup.
Un bon dimanche à tous, j’essaie de revenir très bientôt pour les dernières images de cette restauration.
Pascal